Les Anciennes Beynoises
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Journée du Patrimoine au musée du train de Pithiviers
Notre maitre d’œuvre de ce jour, Christian nous a concocté une sortie sympathique au musée du Train à Pithiviers. En cette matinée le soleil a déjà envahi la campagne, et quelques cabriolets ont découvert leurs toiles.
Malgré tout, nous arrivons sans encombre à Bel-Ebat, où nous sommes reçus par M. Elambert, chef de gare en tenue, et casquette vissée sur la tête. Le ton est donné ; ce sont vraiment des passionnés.
Apéritif traditionnel, pris dans la bonne humeur, et un soleil magnifique qui illumine les belles carrosseries de nos anciennes. Que demander de plus ?
Puis, nous alignons les petites tables, et un pique-nique plus que complet s’organise.
Vers 15h30, nous entendons le « tchouk-tchouk » caractéristique d’une locomotive à vapeur. Exact, une Decauville (mais non, pas la femme de notre cher adhérent, Jean-Michel J) vient d’entrer en scène et s’arrête en gare pour nous emmener vers le musée situé quelque 3 kms plus loin.
Ambiance far west garantie, on se demande même quand aura lieu l’attaque des Indiens !
Après ce voyage initiatique aux sources ferroviaires, il est temps de reprendre notre petit tortillard, pour un retour au « dépôt ». Il est aux environs de 17h30, le temps pour nous de reprendre le chemin de nos domiciles.
Une bien belle journée qui nous a permis de découvrir un autre aspect de notre patrimoine roulant. Alain |
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En
ce dimanche 16 septembre, nous allons prendre la route vers les limites du
Loiret, et de l’Essonne. 
Petit
déjeuner, comme il est désormais de coutume avant de prendre la route, et c’est
vers 9h30 que les premiers concurrents commencent à partir. De belles petites
routes qui nous font découvrir les curiosités de la Beauce, aux confins du
Gâtinais. Le road-book est relativement simple, mais hélas, notre ami Serge,
seul dans sa voiture, (ce n’est pas évident de conduire un œil sur la route, et
l’autre sur la feuille) se perdra, et continuera sa route vers Chartres ! Un peu
déboussolé (c’est le cas de le dire) Il fera demi-tour vers Beynes ! 
De
plus, nous ne sommes nullement pressés par le temps, puisque notre visite débute
à 16h.
Compostage
des billets par un receveur garanti d’époque, et hop, c’est parti pour une virée
au gré de la vapeur, des escarbilles, et du dandinement des wagons se tortillant
sur les raccords des rails. 
Et
nous arrivons en bout de ligne, au Musée du Train. Un petit joyau recelant de
nombreuses locomotives, tant à vapeur, que électriques ou diésel… Quelques
wagons sont aussi exposés. Beaucoup d’accessoires et d’objets du métier, des
habits, des photos… le tout commenté avec moult anecdotes et détails techniques
par note hôte du jour.
Nous
visitons aussi l’atelier de réparation, où l’odeur de l’huile épaisse et chaude
est si caractéristique. Atelier de restauration à la mesure des machines.
Géant !