Citroën HY 1967
Le Tôlé Général
Mon
ami Thierry me téléphone, un soir, pour m’annoncer que son peintre
carrossier avait eu la mauvaise aventure de voir son camion , emmené à la
fourrière au mois d’Août.
Il
est à celui qui paiera l’amende en fourrière. Pour lui, ce véhicule
l’encombrait depuis belle lurette
et il ne tournait plus.
Jusque
là, rien d’exceptionnel, sauf qu’il s’agit d’un Citroën Type HY de
1967.
Le lendemain, nous
voilà à la fourrière tous les trois pour régulariser sa sortie. Mais voilà,
il n’est pas visible car il est sur un autre parc. Bon, je paye sans avoir vu
mais parfois, il faut savoir ne pas faire la fine bouche. Nous prenons
rendez-vous, le samedi suivant pour venir le chercher avec le plateau. En
contrepartie, je récupère la carte grise.
Une
semaine à me renseigner sur les caractéristiques de ce véhicule, son
histoire, son évolution . De plus, à chaque fois, que j’en parle, ce véhicule
dégage une sympathie et un enthousiasme à tous mes interlocuteurs.
Le
jour J arrive et me voilà avec Thierry devant la fourrière.
-
Bonjour, on vient chercher le HY.
- Ah oui, l’épave pourri…
mais vous êtes fou de récupérer un truc pareil et puis , ça passera jamais
sur votre plateau.
Là,
un énorme doute m’envahissait et je regardais mon « soi-disant »
copain en me demandant s’il ne m’avait pas mis sur un coup foireux ????
-
Je t’assure Nico, la dernière fois que je l’ai vu, il était correct et pas
pourri .
Je
commençais à me poser de grosses questions !!!!!!!
Nous
arrivâmes sur le parc N°2 où plus de 200 voitures y étaient stockées. Notre
interlocuteur nous montra du doigt et d’un air dédaigneux, l’objet de notre
convoitise.
Un
soulagement énorme m’envahissait et
je vis la chose : c’était un C35 pourri qui commençait à se casser en
deux….
- Mais non, c’est pas ça.
On est venu chercher un HY , un tube si vous voulez.
Là,
notre homme blêmit…
- Ah oui, mais il est là-bas
tout au fond. Ca fait un bail qu’il est là, et en plus depuis on a rentré
tout ça (il nous montre près d’une cinquantaine de voitures entassées
devant le fourgon )
- Mais oui, c’est un HY au
fond, c’est ça
Et
l’homme monta dans son manitou et commença le massacre. Il déplaça toutes
les voitures, les entassa…Elles avaient toutes la mention : CASSE et le HY aussi.
On
réussit à le dégager, à le monter sur le plateau et on réalisa qu’on
venait de le sauver.
Certes,
il n’est pas beau extérieurement mais le lendemain, Patrice s’occupa de le
remettre en route ; le moteur tourne comme une horloge, il a été refait
il y a 20.000 km et le HY a 67.000 km. Le soubassement est très sain, seule la
galerie a coulé toute sa rouille sur le tôlé.
Voilà
, on attends de le remettre en état pour le Club .Quelques travaux de tôlerie
sont nécessaires pour le revoir dans sa livrée d’origine. Un appel est lancé
pour ceux qui ont des pièces de tôlerie et l’âme d’un carrossier. Sur les
côtés, il y a possibilité de peindre une publicité.
Nicolas
Peugeot 203
coupé
Attention,
une 203 peut en cacher une autre.

Monsieur Philippe, l’homme à la
petite DAF, me demanda si je pouvais l’aider à aller chercher sa future
nouvelle acquisition : une 203 Berline qui n’avait pas roulé depuis 20
ans.
Nous
partîmes à trois avec le plateau de bon matin.
Sur
la route, nous décidâmes de nous arrêter chez un garagiste pour récupérer
un certificat de vente. Monsieur VIN alla voir à la station pendant que mon
ami, à l’arrière de la voiture me dit :
- Tiens,
on dirait bien l’avant d’une 203, sur le pont dans l’atelier (tout en
descendant sa vitre pour mieux regarder).
-Ouais,
répond l’ouvrier, c’est un coupé….
Mon
sang ne fit qu’un tour et j’entrepris de descendre de la voiture pour aller
voir, cela de plus près ; tout en me disant qu’à la campagne, les
paysans; ils appellent un bâché : un coupé.
Eh
bien, mauvaise langue que je suis, stupeur, c’était bien un rare coupé.
C’est
une première main qui n’a plus roulé depuis le mariage de la fille du propriétaire
en 1979. Le livre de bord est à l’intérieur avec tous les ustensiles.
Quelques
jours m’ont suffit pour convaincre le propriétaire de me la vendre.
Elle
est noire dans son jus, très saine et tourne à merveille.
Philippe
Simca Grand Large
Il
y a un peu plus d'un mois, un de nos potes (Alain , psy dans le civil et surtout
amateur de voitures, puisque possesseur à l'heure actuelle d'une R17 Gordini et
de deux Fiat Ritmo Abarth qui envoient le pâté) m'appelle pour me dire :
-
"tiens,
mon gars, j'ai un truc pour toi. Figures-toi que j'ai acheté un terrain, sur
lequel il y a un hangar et une petite maison que je vais faire abattre."
-
"Ouais,
et alors?"
-
"Ben,
dans le hangar, y'a une auto qui dort là depuis plus de 35 ans".
-
"Ah?"
"Et ça va te plaire, toi qu'aime bien Simca".
-
"Ah
?" "C'est une Grand Large de 1955, elle est saine, complète, le genre
de truc que tu crois pas si tu l'as pas vu.
Voilà,
je te la file parce que je veux pas la vendre à un gars qui va la tuner. Mais
faut que tu viennes la chercher !"
Ce
genre de plan, t'y crois pas d'abord. Puis tu reçois quelques photos, tu vois
l'auto. T'y crois encore moins. Elle
a vraiment l'air complète, c'est vraiment une Aronde Grand Large, bref... tu
fonces. Tu rameutes les copains (le Fifi, le Jacques, le Philippe), t'embarques
tout ce beau monde, tu attelles un plateau, tu prépares la tronçonneuse (il a
quand même fallu abattre quelques arbres pour pouvoir la sortir !) et roule ma
poule.
Tu
retrouves Alain qui se moque de ton impatience, fait traîner le suspense en
t'obligeant d'abord à tout débroussailler.
Ça
dure des heures et toi, tu tires la langue et tu finis par te dire qu'il t'a
juste fait venir pour débroussailler son terrain et dégager son portail ! Et
puis, et puis, vient le moment !! Le grand moment. T'es devant la porte, tu la
fais tomber (ben oui, y'a plus de gonds passés 35 ans !) et là, dans
l'obscurité, tu la vois. Poussiéreuse, crapoto basta fuite, mais effectivement
complète. T'en fais le tour une fois, deux fois, trois fois. Tu te grattes
l'occiput et tu t'assoies pour reprendre tes esprits.
Ben
oui, tu rêves pas. Des sorties de grange, ça existe encore ! Et celle-là elle
fait partie des exceptionnelles. Parce que, tiens-toi bien, rien n'est bloqué.
Les freins, pff, pour un peu ils seraient neufs. Et comme t'es un malin qui n'en
est pas à son premier sauvetage, t'as prévu quatre roues sur gonflées pour
faciliter le déplacement du bestiau (et tu as bien fait, biscotte les roues
d'origine, elles manquent d'air, les bougresses) que tu montes en un tour de
main. Et tu sors l'auto qui retrouve le soleil après 35 ans passées à l'ombre
et au sec.
Et
tu peux l'examiner tout à loisir. Pour t'apercevoir qu'elle est réellement
complète, que les intérieurs sont justes poussiéreux, que le moteur est
certes bloqué mais bon, si tu insistais un peu, ben il repartirait comme en
quarante !
Bref,
sous la poussière se cache une princesse ensommeillée ! Qu'on s'est empressé
de monter sur le plateau avant de la passer au Karcher. Et voilà comment une
Grand Large vient de rejoindre notre P60, Gordie, l'Océane et le coach DB dans
notre atelier. Elle est pas belle la vie ?
Jean-Jacques
Citroën Traction
15 six - Avril 1951
En
vacances en BOURGOGNE chez mes parents durant ce mois d'août 1978, leur voisin
fait vaguement allusion à une voiture noire qui semblerait être une traction,
et remisée depuis des années dans un local servant d'abri au matériel
agricole d'une ferme située à quelques kilomètres de là.
Bien
entendu pas plus de précisions flou absolu, sur l'année, son état, impossible
de savoir si elle est roulante, complète , à vendre ou non bref tout pour
attiser la curiosité d'un collectionneur.
Après
avoir harcelé de questions devant un pastis celui qui avait mis le feu aux
poudres, j'ai pu obtenir des petites informations, mais surtout et cela tenait
du miracle un rendez-vous par téléphone dans l'heure qui suivait avec le
propriétaire.
Arrivés
sur place avec mon voisin, et bien malgré moi, re‑pastis avant même
d'aller voir le «tas de ferraille» comme il appelait cette chose qui allait
devenir 24 ans plus tard le sujet de ces quelques lignes. Sujet de conversation
? Tout : Sauf le principal.
Les
verres enfin vides , nous nous dirigeons (moi en tête) vers ce fameux local qui
n'abritait peut-être qu'un tas de rouille enfin nous verrons bien…(à ce
moment là, je devais avoisiner les 120 pulsations minute).
Dès
La porte du hangar ouverte, sur la gauche, j'aperçois effectivement le pavillon
(seule partie visible de la voiture) d'une
traction ! En moi même, je me disais elle est large quand même, c’est sûrement
une 11 large .
Tout
en dégageant les palettes et autres cartons posés sur les côtés du véhicule,
je progresse lentement sur le flanc droit de cette voiture si large, mais aussi
très longue : je ne peux m'empêcher de faire cette remarque : elle vous prend
pas mal de place (ou quelque chose dans ce
style) ! Ben oui, dit‑il les 15 étaient plus grosses ! Silence absolu
je médite quelques secondes en le regardant pensant
qu'il
plaisante ou qu'il se trompe. Et bien pas du tout ! Moins de trois minutes plus
tard elle était débarrassée des objets qui la recouvraient, le capot était
ouvert et la preuve était bien sous mes yeux : le superbe six cylindres se
posait bien là.
Remis
de mes émotions après ce que je qualifierais de surprise miraculeuse car il
faut rappeler que je n'avais pas pensé une seconde qu'il s'agirait d'une 15, je
fis un tour rapide et je pu constater que l'état général était plutôt bon.
Restait
le côté financier à aborder. Bien que très sympa, je redoutais qu'il soit un
peu trop gourmand, et là, autre surprise, pour lui la vision de son local débarrassé
de ces 1000 et quelques kilos de métal lui a fait ignorer totalement le côté
lucratif de l’affaire et quelques milliers de francs ont suffit. Les papiers
signés, j'allais sans perdre une seconde chercher de l'outillage de l'huile, du
liquide de refroidissement et une batterie afin de la faire démarrer. Bien que
le kilométrage n'était pas très élevé, 64000 km, et que le propriétaire la
faisait tourner soit disant une à deux fois par an, je craignais un réveil
laborieux du 6 cylindres .
Les
six seront t'ils au rendez-vous ? Et bien oui et très rapidement. Six bougies,
10 litres de carburant , une bonne batterie et le tour est joué. Depuis elle
n'a jamais failli à sa réputation de fiabilité et de robustesse, durant
toutes ces année je me suis contenté de faire les vidanges et l'entretien
courant rien de plus. Il m'arrive de faire 100 km dans la journée sans aucun
problème, mais il faut être raisonnable et une restauration complète est prévue
car il est vrai que côté sellerie, peinture, durits, carrosserie, électricité
il faut tout reprendre.
Christian
J'ai attrapé le virus de
l'ancienne après avoir fait connaissance de Claude et Christian. Je voulais
depuis longtemps acquérir une SIMCA P60 ou une traction.
L'occasion s'est présentée par l'intermédiaire du mari d'une amie de mon épouse,
suite au décès d'un proche il devait déménager une maison ainsi que le garage ou
se trouvait la voiture de son père (SIMCA P60 Elysée).

Mon
épouse m'en a fait part et demandé si cette voiture pourrait m'intéresser, ma
réponse fut oui mais il faut voir !. Après un rendez-vous pris, nous sommes
allés la voir et qu'elle ne fut ma surprise. Elle était sous une bâche depuis
1983 et dans un état de conservation étonnant. Je fis part à mon épouse de mon
impression positive et elle me répondit : "je te l'offre pour tes cinquante
printemps".
Alors, je
remercie Daniel et Rolande les anciens propriétaires et mon épouse chérie pour
ce magnifique cadeau sans oublier Nicolas qui m'a prêté le plateau pour la
rapatrier jusqu'à mon domicile, d'ailleurs on pourrait rebaptiser le plateau "le
nettoyeur des granges", vu le nombre de sorties qui ont été faites avec lui.
Allez
j'arrête de parler et au boulot.
Et vous
voyez avec un bon coup de polish et pas mal d’huile de coude, ça présente tout
de suite mieux !
Patrice
TRIUMPH TR7 "sortie de Parking"
Tout
a commencé par un E-mail me demandant si une Triumph TR7 ne m'intéressait pas ?
Ça faisait un peu comme : "Mon ami a une Triumph TR7 dans le parking de mon
immeuble qui n'a pas roulé depuis 3 ou 4 ans. Nous envisageons de déménager et
nous allons devoir libérer cette place de parking". Sans répondre dans
l'affirmative, je demandais quelques renseignements complémentaires, bien que le
modèle par lui-même ne me séduisait pas trop.
Par retour de courrier, j'apprenais que c'était un modèle
cabriolet, qui avait été arrêté à cause d'une panne de carburation mais ne s'y
connaissant pas trop, le propriétaire n'avait jamais fait les réparations
nécessaires. De plus, elle ne se trouvait pas trop loin de mon lieu de travail
dans le 93. Je pourrai aller la voir un de ces jours….
Puis le temps aidant, j'avais oublié cette histoire, pris par
les tâches quotidiennes et extra-quotidiennes….. Mais mon interlocutrice ne
voulait pas s'en tenir là. Le déménagement approchant sûrement, elle me relança.
Avec toutes mes excuses pour cet oubli, je profitais de quelques jours de
vacances pendant la trêve des confiseurs à Noël pour aller voir cette voiture.
Nichée sous un tas de poussière, je pu quand même me rendre
compte que la bête était dans un état correct et super saine. La peinture avait
l'air correcte malgré quelques éraflures sur le coté gauche et l'avant de la
voiture qui avait reçu un bon coup sur le museau, pare-choc cassé mais rien de
bien grave. Les bas de caisse et le soubassement avait l'air très sain et exempt
de rouille. Mécaniquement, le moteur n'était pas bloqué, les freins non plus
d'ailleurs. Après une expertise à la hauteur de mes compétences et une rapide
gymnastique d'esprit afin d'évaluer le montant des frais à envisager pour la
remise en état, je faisais une proposition financière, honnête, mais sans me
ruiner. La dame me demanda réflexion pour en référer à son ami qui était le
propriétaire de cette voiture.
Le
soir même, elle me re-contacta pour me faire part de la décision positive de son
ami. L'affaire était conclue et il ne me restait plus qu'a organiser et mettre
sur pied la logistique nécessaire au rapatriement de cette TR7 à mon domicile
dans les Yvelines. Coup de téléphone aux amis, ça tombait bien, c'était les
vacances de Noël et la disponibilité des gens en cette période est remarquable
et une sortie de grange ou plutôt de "parking" fait toujours plaisir.
Un petit clin d'oeil à Nico, merci pour ton aide.
Une fois tout réglé, le départ fut donné le 31 décembre vers 9
heures. Attelage du plateau, vérification, sangles et Hop en route pour le 93 ou
"9 cube" comme ils disent là-bas ! Arrivée vers 10 heures, inspection des lieux
pour trouver le meilleur compromis pour le chargement de l'engin. Échange de
papiers, carte grise et certificat de vente contre billets de banques et nous
voilà reparti pour l'ouest parisien. Sans encombre ni embouteillage, nous étions
de retour vers midi.
Le soir, il y avait le réveillon et tous les préparatifs mais il
était quand même bien tentant de regarder la chose. Un petit coup de nettoyage
pour la rendre plus attrayante car ma "Dame à moi" n'avait pas été prévenue de
cette nouvelle acquisition et je voulais que le premier contact soit des plus
harmonieux. Je lui avais déjà piqué son emplacement de garage alors ! il fallait
ménager les présentations ! Une fois lavée, même moi, je ne la reconnaissais
plus, elle brillait et paraissait beaucoup plus jeune que son age…. Et dans un
bien meilleur état… Jugez-en plutôt !
Une petite révision mécanique (vidange et remplissage de tous
les liquides), dégarnissage pour réfection de l’armature du siège conducteur qui
était cassé (merci à Cyril) et hop, départ pour le contrôle technique de façon à
obtenir une carte grise. Des anomalies, sûrement mais sans rien faire, faut pas
se plaindre, un cylindre de freins arrière probablement bloqué, le pot
d’échappement à changer (percé à plusieurs endroits ce qui rend le contrôle
antipollution impossible), les caches amortisseurs défectueux. Echange également
des quatre pneus, car à rester sans bouger et dégonflés je vous parle pas de la
déformation et des drôles de vibrations de la voiture. Prochaine étape, la
réfection des freins et de l’échappement pour la contre visite…, petite visite
également chez Michel, pour y réparer son museau, changement du pare-choc avant
et du spoiler pour y refaire une beauté, du cosmétique quoi !…... Elle est pas
belle la vie !


Patrice
Peugeot 403
Le téléphone retentit : M. Chevrier, collaborateur PSA de
Vélizy à la retraite depuis 3 ans m’appelle. Allo M. Delhomme, la Peugeot que
vous avez vue il y a 2 ans est à vendre 1500€ car je déménage bientôt et je
n’ai pas réussi à m’en séparer.
Le samedi suivant, je me rends chez M. Chevrier pour voir
le véhicule : c’est une Peugeot 403/7 de 1964 avec 99255 Kms au compteur,
l’intérieur est comme neuf,
La peinture est passée et la rouille l’a attaqué à
plusieurs endroits (ailes avants autour des phares, ailes intérieures de coffre,
ailes extérieures arrières, tôle de protection de longerons).



N’ayant pas de place dans mon garage, je dis à M. Chevrier désolé mais je ne la prends
pas !
Alors
M. Chevrier, dans un élan de gentillesse, me dit «et si je vous la donne ? »
Pas de problème, pour quelques bouteilles de bon vin, le
lendemain au volant de sa XM, Thierry vient chercher la 403 avec le
plateau de Nicolas, direction Longjumeau.
Depuis j’ai refait le radiateur, le démarreur,
l’alternateur, les freins avant et arrière, remis un Hélicoïdale dans un puit de
bougie, fait la vidange du moteur, boîte et pont arrière. Enfin presque tout
pour bien rouler avant de passer le contrôle Technique.
Régis


Massey Ferguson - Pony 812
Certains
sortent des autos, d’autres des motos ou des vélos, mais d’autres sont encore
plus marginaux. C’est le cas d’Alain qui nous a fait parvenir ces photos
avec ce sympathique commentaire :
Cher Patrice,
L'année 2007 commence bien,
j'ai pu essayer mon Pony démarreur réparé et je pense avoir atteint les 6 KMH,
quel plaisir, c'est grisant !!!!!!
Je t'envoie les photos de mon
engin ...dont une en sortie de grange!!
Massey-Harris PONY 820 de
1962 moteur essence de la Peugeot 203.

Merci
Alain, et fais nous griser aussi en venant nous le montrer sur le parking
du G20 lors d’un prochain rassemblement.
NSU 41 Sport Sprintz

Ca
y est ce matin
La bête est
sortie. Depuis 1998 elle n’a pas mis une roue dehors !
J'ai
commencé cet après-midi à la nettoyer et décrasser la carrosserie
Le week-end
prochain je démonte ?!
Je crois
qu'on pourra la mettre dans le coffre de la Mustang!!!
Fred
MICHAUT


Marque :
NSU
Type :
41 SPORT SPRINZ
Puissance :
3 cv
Place
assises : 2
Date de 1ère
mise en circulation : 1962

Jean-Philippe
nous habitue à monopoliser cette rubrique pour notre plaisir. Chose peu commune,
c’est dans le caravanning qu’il a officié. Cette caravane est ressortie de
léthargie après plus de 50 ans de sommeil. Un coup de chiffon pour enlever la
poussière et Hop ! On attelle et on part en vacances …..



Un
jour en se promenant à la campagne, nous avons vu au fond d’une grange une
caravane toute poussiéreuse, abandonnée, des années 60. Après de nombreuses
recherches auprès de la préfecture, nous avons pu récupérer cette caravane. Il a
suffi d’un peu d’air dans les pneus et un chariot élévateur pour la sortir de la
grange et la remettre sur la plateau. En participant au rassemblement des
voitures anciennes, notre traction est tombée amoureuse de notre caravane.
Depuis cette rencontre ils ne se séparent plus.


Jean-Philippe
et tous les copains du Pur-Sang de Maison Laffitte.




